lundi 27 novembre 2017

Le SAM est de retour!

Aujourd'hui la boite aux lettres déborde. Il est vrai que c'est l'automne et les feuilles de diverses formes, de coloris chatoyants . . . . tombent sur ce pauvre peuple qui n'en peut mais!

Des impôts dont je ne me serais pas acquittés en temps et heure; pas acquitté donc coupable. Oui je sais ce sont les nerfs! Vivement le droit à l’erreur du noble Darmanin! Mais je me méfie car je connais l'adage : " Lundi Darmanin, demain tu ne feras pas le malin".

Mais aujourd'hui le pompon, c'est le SAM, le Syndicat d'Assainissement du Mellois, qui m'envoie une petite facture du contrôle de mon "ANC" qui fut faite en 2015 et pour laquelle j'ai déjà reçu deux factures en 2016!

Celle d'aujourd'hui à cela d’hallucinant que la référence compteur est celle de mon . . . . jardin potager !

J'ai donc courageusement prit mon téléphone pour demander quelques explications. La personne m'a indiqué que le SERTAD, qui lui distribue et vérifie les installations avait du donner un numéro de compteur inexact, mais bon . . . . on s'en fout, c'est l'adresse de distribution qui compte!

On constate quand même que la gestion de ces syndicats est . . . . approximative et au fait pourquoi à une époque où nous manquons de ressources financières une telle gabegie. Dans la loi NOTRe, il me semblait qu'il fallait diminuer le nombre de syndicats, fussent-ils mixtes!

Pourtant l'année dernière (2016), nous avions reçu deux facture pour 2015, en avril et en octobre. Sur la seconde un post-it nous indiqua que les administrateurs avaient décidés de nous faire payer sur 4 ans, puis sur 6 ans, d’où ce rappel.

Elle est raide la ficelle! (de rappel, pour éviter de tomber où de couler)!

Philippe Boinier, maire de Mougon l'an passé, avait reconnu en conseil s'être fait avoir par les autres administrateurs. A cette époque un peu tendue car il s'agissait de statuer sur l'assainissement du village de Montaillon, qui lui avait abondé celui des bourgs et qu'une enquête d'utilité publique en décembre 2016, allait transférer de "collectif à SPANC".

Cela sans jamais tenir compte des solutions pertinentes présentées par des habitants concernés, conscients des problématiques, mais surtout, qui de par leurs activités récurrentes durant plus de 20 ans sur le ruisseau, ont fait la démonstration de l'intérêt qu'ils portaient et portent encore au devenir de l'eau potable, bien trop précieux pour le confier à de vulgaires gestionnaires, qui gèrent surtout . . . .  leur carrière!


Le numéro de compteur est celui de mon jardin

Vérif SAM 2015 . . . encore!
Il est bien géré ce Pays Mellois, il suffit d'augmenter les taux pour compenser les erreurs humaines. Elle est bien faite la langue française.

Augmenter les taux =? Augmenter l'étau

Elle est pas belle la vie (la vis, et oui l'étau ça se visse, m'enfin!).


Peire




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