Dans le monde troublé dans lequel nous vivons, dans cette atmosphère de fin de beaucoup de choses, je voulais vous envoyer quelques images "campestres" et bucoliques d'une réalité qui perdurera même quand nos vies ses seront éteintes.
Oh je sais, frères humains qui après nous vivraient, que la science résoudra tous nos problèmes de pollutions actuels, de maladies, d’exigences sociales.
Les hommes toujours plus nombreux, toujours plus contraints, par des lois, des règlements, seront de plus en plus "heureux", grâce aux technologies de l’information, à la courses sans fin du consumérisme.
Ils s'enfermeront dans des villes protégées de l'extérieur par des champs magnétiques, des bulles qui se fermeront dés qu'un pic de pollution sera en vue!
On leur bricolera des reins, des cœurs, divers éléments pour qu'ils puissent vivre dans ces cocons artificiels.
Puis on en viendra à ce qui aujourd'hui est une petite pratique, la greffe biologique; mais comme l'homme sera devenu bionique, on en viendra à recycler de l'humain, ce qui permettra aussi d'en limiter la population.
Alors avant que nous oublions celle dont nous sommes les enfants, voici quelques photos d'une petite balade de Noël autour de nos petites vallées.
Lassalle, mon "papé" libre penseur athé gascon, disait pourtant : "pres de la terra, pres de Diou".
Lorsque l'on se promène dans la Nature, fut-elle travaillée par l'Homme, on ressent souvent ce sentiment de notre petitesse, de notre pauvreté d'âme, devant le beau, le simple et le grandiose du vivant.
Oh je sais, frères humains qui après nous vivraient, que la science résoudra tous nos problèmes de pollutions actuels, de maladies, d’exigences sociales.
Les hommes toujours plus nombreux, toujours plus contraints, par des lois, des règlements, seront de plus en plus "heureux", grâce aux technologies de l’information, à la courses sans fin du consumérisme.
Ils s'enfermeront dans des villes protégées de l'extérieur par des champs magnétiques, des bulles qui se fermeront dés qu'un pic de pollution sera en vue!
On leur bricolera des reins, des cœurs, divers éléments pour qu'ils puissent vivre dans ces cocons artificiels.
Puis on en viendra à ce qui aujourd'hui est une petite pratique, la greffe biologique; mais comme l'homme sera devenu bionique, on en viendra à recycler de l'humain, ce qui permettra aussi d'en limiter la population.
Alors avant que nous oublions celle dont nous sommes les enfants, voici quelques photos d'une petite balade de Noël autour de nos petites vallées.
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| Lavoir du nord d'Aigondigné (la rivière) |
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| l'Aigonnay chante |
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| L'Aigonnay rejoint par la source du lavoir |
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| Au fond des champs, naissent des ruisseaux temporaires |
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| Les "favas" si chéres à mon papa espagnol sortent de terre |
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| Les petits pois d'hiver sont eux aussi bien partis! |
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| Mirandaine, joli endroit |
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| Mirandaine "pones" et Lavoirs |
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| Mirandaine |
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| Lavoir simple (un bac) |
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| Là c'est toute la "beauté" de notre civilisation de "je m'en foutistes" |
Lassalle, mon "papé" libre penseur athé gascon, disait pourtant : "pres de la terra, pres de Diou".
Lorsque l'on se promène dans la Nature, fut-elle travaillée par l'Homme, on ressent souvent ce sentiment de notre petitesse, de notre pauvreté d'âme, devant le beau, le simple et le grandiose du vivant.
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